Le manga
D’abord sous forme de pilotes, le manga Hokuto no Ken est publié pour la première fois dans le Weekly Shōnen Jump de l’éditeur Shueisha entre 1983 et 1988. Les 245 chapitres de l’oeuvre seront ensuite compilées sous forme de tankōbon chez Jump Comics.
Les 27 volumes seront traduits en français et publiés aux éditions “J’ai Lu” de août 1999 à novembre 2001. Cette version sera ensuite rééditée en France en 2008 par Asuka (puis Kazé Manga) à l’occasion du 25ème anniversaire de l’oeuvre.
Une version colorisée du manga, la Master Edition, fera son apparition en 2002 au Japon et aux USA mais sa publication sera arrêtée en 2003, après seulement 9 volumes.
En 2006, une édition kanzenban de l’oeuvre est publiée au Japon par Shogakukan. Cette version ne comporte que 16 volumes au lieu des 27 de l’édition précédente (plus grand format de page).
En août 2013, Kazé décide de publier la version française de l’édition ci-dessus. Elle sera baptisée “Edition Deluxe“. Malgré ce titre prometteur il semblerait que plusieurs problèmes d’impression ne viennent gâcher la fête.
En 2013, pour le trentième anniversaire, commence au Japon la publication, chez Zenon Comics, d’une nouvelle (et ultime ?) édition. Baptisée Extreme Edition (ou Ultimate Edition), cette version sera vendue comme étant la version finale de l’oeuvre de Hara : nouveaux dessins de couvertures inédits, plusieurs planches retravaillées/corrigées et un nouveau chapitre dessiné par le maître lui-même (Last Piece) est inséré entre la mort de Raoh et les retrouvailles entre Kenshirō, Bat et Lin devenus adultes.
En dehors de toutes ces éditions, il existe plusieurs databooks qui s’efforcent analysent l’oeuvre originale ainsi q’un livre d’illustrations.
Il existe aussi une nouvelle, sortie en 1996 et illustrée par Tetsuo Hara: Jubaku no Machi, qui sera adaptée en OAV en 2003 sous le titre Shin Hokuto no Ken.
Par ailleurs, plusieurs mangas centrés sur des personnages de l’oeuvre originale (ou Gaiden) ont vus le jour depuis 2006 : (La Légende de Raoh, La Légende de Toki, La Légende de Rei…)